Selon une fameuse locution latine « Errare humanum est, perseverare diabolicum »
(se tromper est humain, persévérer {dans l’erreur} est diabolique), dont acte
Page 99, nous écrivons :
« L'ex-trafiquant, travaillait toujours pour la SNPE, à la production des explosifs pour aibags." Un lecteur attentif nous signale que les airbags sont gonflés non pas par un explosif mais par un propergol. C'est tout à fait exact. Nous avons pris ce raccourci pour simplifier le propos mais puisque on nous en fait la remarque, voici ce que nous aurions pu écrire: « L'ex-trafiquant, travaillait toujours pour la SNPE, à la production des cartouches pyrotechniques à base de perchlorate d'ammonium destinées au gonflage des aibags." Le perchlorate d'ammonium est en effet un propergol dont les ions
ammonium sont le carburant et les ions perchlorate, le comburant. Cela
dit la réaction est si vive, production de 60 litres de gaz en qq millisecondes, qu'elle
peut être assimilée à une explosion.
Page 101, nous écrivons :
« Le CEG ne souhaite pas communiquer sur son « ingénieur maison » arrivé là avec un baccalauréat technique pour tout diplôme »
Il convenait d’écrire :
« Le CEG ne souhaite pas communiquer sur son « ingénieur maison » arrivé là avec un baccalauréat scientifique pour tout diplôme »
Pages 144 à 147: Nous relatons, à la "lumière" des rapports d'expertise que nous avons pu consulter les analyses paradoxales, voire ambigües que font les spécialistes en acoustique et en sismique-sismologie de l'enregistrement d'une conversation téléphonique réalisé par les autorités de l'Aviation Civile dans l'enceinte de site aéronautique de Toulouse-Blagnac. Des révélations de dernière minute nous donnent a actualiser ces quelques pages...Voir dans la catégorie "Son" les progrès de notre enquête.
Page 180, nous écrivons :
« Cependant, deux opérateurs de la salle de contrôle prétendent que CTRA aurait vainement tenté à trois reprises d’allumer les brûleurs gaz d’une chaudière. »
Il convenait d’écrire :
« Cependant, deux opérateurs de la salle de contrôle prétendent que CTRA, aurait vainement tenté à trois reprises d’allumer les brûleurs gaz d’une chaudière, à la demande de son donneur d’ordres.»
Page 183, nous écrivons :« Un phénomène visuel, lumineux par exemple, se propage à 360 000 kilomètres par seconde, soit la vitesse de la lumière." On l'aura compris, une coquille s'est glissée dans le texte puisque la vitesse de la lumière n'est que de 300 000 km/s, plus précisément de 299 792 458 kilomètres par seconde. Mais cette différence n'ébranle pas la pertinence du propos.
Page 285, nous écrivons :« La décomposition d'engrais NPK dans un hangar de la zone portuaire de Nantes-Chantenay, avec aussi stockage de nitrate d'ammonium dans le même bâtiment, s'est produite le matin du 29 octobre 1997. »
Il convenait d'écrire:
« ...le matin du 29 octobre 1987.»
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