La preuve par le bruit et l’image… (extraits)
« Ce 21 septembre, à l’occasion d’une grève au collège Bellefontaine, la presse locale est sur place, notamment France 3 Sud et M6 Toulouse.
A vol d’oiseau le collège se trouve à un peu plus de 2000 mètres au sud-ouest du hangar 221 d’AZF. Le journaliste de France 3 a éteint sa caméra, mais il reçoit l’onde de choc,
par réflexe il la remet en route. C’est ainsi qu’il filme la « queue » de la détonation, puis la panique
qui gagne les personnes présentes. La caméra enregistre leurs
commentaires et les bruits environnants. Un homme, pointant du doigt
l’endroit où est située AZF, s’exclame :
- C’est… c’est l’onde de…le…le pétard à pété à 3 ou 500 mètres et on a eu l’onde de choc en fait !
- C’est un pétard ça ?, le reprend un autre
- C’est un avion !, lance une troisième personne
- Un avion !, dit une femme…
Quinze secondes, précisément, se sont écoulées depuis que la détonation
a été ressentie et enregistrée au collège Bellefontaine. Compte tenu de
la distance (2170 mètres, très exactement) et de la vitesse du son
(343,7 m/s), elle s’est donc produite 6,3 secondes avant.
Officiellement à 10h17 et 55,5 secondes.
21, 3 secondes se sont donc écoulées depuis la détonation quand on
commence à percevoir, sur l’enregistrement de France 3 Sud, le bruit
très caractéristique des turbines et des pales d’un hélicoptère. Il est
10 heures 18 minutes et 16,8 secondes.
Des personnes présentes à l’image scrutent alors le ciel en direction
de l’est et du nord-est, légèrement vers le sud d’AZF, de même que le
cameraman sans toutefois parvenir à localiser l’engin. » (Fin de
l’extrait)
Cliquez sur l'image pour voir la vidéo
A l’écoute de l’enregistrement on constate que le
bruit de l’hélicoptère s’interrompt soudainement au bout de 18
secondes. Ce phénomène pourrait s’expliquer, selon le Bureau enquêtes
accidents de l’Aviation civile (BEA) par le passage de l’aéronef
derrière un obstacle de type immeuble.
Quel était et que faisait cet hélicoptère dans le ciel toulousain si
près de la zone de la catastrophe au moment où elle s’est produite ?
Pourquoi son pilote ne s’est-il pas manifesté au enquêteurs ?
Selon l’enquête officielle, il s’agirait d’un Super Puma de l’armée, «
au roulage » sur la piste de la base aérienne 101 de Francazal …située à 3 200
mètres de la caméra, à l’opposé du micro de celle-ci !
Notre ouvrage « AZF : l’enquête assassinée » démontre que cette explication ne tient pas.
Ecoutons la suite de la vidéo France 3 Sud. 38 secondes après le grand Boooum, une fille s’écrie
- Y’à d’la fumée !, puis un homme
- Regarde, regarde, regarde ! et un autre homme ajoute 43 secondes après l’explosion
- Y'à un éclair et l'onde choc !
Cette exclamation est importante car dès le 4 octobre 2001 quelques
médias, à la suite de la Dépêche du Midi laissent entendre que
l’existence d’un éclair, que certains ont voulu associer à un tir de projectile, serait soutenue ...par des témoins manipulés!
Voir et entendre une onde de choc "sismo-acoustique" comparable à celle qui a balayé Toulouse
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